28.4.11

Jeu Erotique #5 - Le diable empourpré / Episode 2



Nous attachons Satan pour la soirée. Endeuillé, endormi, docile et immobile, nous le déshabillons. Accroupie au-dessus de lui, Martine m’embrasse et glisse ses mains sous mon tee-shirt, elle presse mes seins et me lèche le visage, tire mes cheveux en arrière et lape mon cou. Je retrousse sa jupe, elle déboutonne mon jean. J’enfonce mes doigts dans son sexe trempé qui se contracte. Ses seins frôlent le torse de Satan à chacun de mes va-et-vient. Nous nous attaquons au diable. Je lui lèche les couilles, Martine le prend dans sa bouche. Sa salive coule sur mon visage. Nous le suçons et le frottons jusqu'à qu’il bande. Une fois sa queue bien raide Martine le chevauche en poussant des petits gémissements de petite salope, je lui prend ses seins et frotte mon sexe contre la bouche douce et humide du diable. Elle n’a pas encore passé son tour que notre jouet commence à gémir lui aussi. 


illustration de l'ami Robert Geret


Épisode 3
Pour les retardataires: Épisode 1

26.4.11

Jeu Erotique #5 - Le diable empourpré / Episode 1


(Les contraintes de l'ami Jacques: un bar, un homme qui vient de perdre son père, un somnifère puissant)

Je pousse la porte de chez Martine, il est vautré la tête entre les mains. Il me jette un regard empourpré, ses pupilles sont violettes, je m’assois à coté de ses yeux. Il a les cheveux roux de Satan mais pleure comme un enfant. Son père est mort ce matin « tout seul comme un chien à l’hôpital américain ». Le bar se vide, Martine baisse le rideau de fer et nous sert des Jupiler. Il attrape un de mes seins comme s’il volait une pomme sur un étal. Je le gifle gentiment, Martine rie et nous sert du whisky. J’ai la peau qui palpite, sa maladresse est grisante. Il pleure encore un peu. Martine semble grisée elle aussi. Elle ne porte pas de soutien-gorge, ses seins dansent sous son pull. Porte-elle une culotte ? Elle m’entraine derrière et me propose de jouer avec elle. Quelques grammes de somnifère feront l’affaire. Notre accord est hâtivement signé entre deux baisers. 


illustration de l'ami Robert Geret